La crise alimentaire expose un nombre plus élevé de personnes aux risques de contracter le VIH/Sida dans le pays, particulièrement au Plateau central. Cette crise alimentaire qui frappe le pays comme un coup de massue menace de réduire à néant les progrès réalisés dans la lutte contre le VIH/Sida, car les populations vulnérables, qui vivent dans la pauvreté extrême et qui souffrent de malnutrition, sont forcées, pour survivre, d’adopter des comportements sexuels à risques élevés.
Un nombre grandissant de jeunes femmes dans le département du