Le syndrome du chien couchant (4 de 6)

Par Alin Louis Hall Un mois avant sa mort, Frantz Fanon écrivait à l’un des amis : « Nous ne sommes rien sur terre si nous ne sommes d’abord esclaves d’une cause : celle des peuples, celle de la justice et celle de la liberté.

Le Nouvelliste
Par Le Nouvelliste
23 juin 2016 | Lecture : 11 min.
Par Alin Louis Hall Un mois avant sa mort, Frantz Fanon écrivait à l’un des amis : « Nous ne sommes rien sur terre si nous ne sommes d’abord esclaves d’une cause : celle des peuples, celle de la justice et celle de la liberté. » Il s’agit ici de faire bien comprendre que chaque génération doit découvrir sa mission, la remplir ou la trahir. Selon Karl Marx, « les prolétaires n'ont rien à perdre que leurs chaînes. Ils ont un monde à gagner ». En remontant à la surface après cette plongée de mémoire, avec une facilité déconcertante, l’identifica
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