Et si l'Assemblée nationale ne pouvait se réunir...

L’échéance des cent vingt jours de la présidence de Privert entraîne le pays dans une nouvelle crise politique.

Lemoine Bonneau
Par Lemoine Bonneau
16 juin 2016 | Lecture : 3 min.
L’échéance des cent vingt jours de la présidence de Privert entraîne le pays dans une nouvelle crise politique. Comme dans d'autres circonstances antérieures similaires, partisans et adversaires du maintien de Privert à la présidence provisoire sont à couteaux tirés sur ce dossier brûlant de l’actualité. Il y a, d’un côté, les partisans du PHTK et alliés qui exigent le départ du président provisoire et, de l’autre, ceux des partis Fanmi Lavalas et Pitit Dessalines qui soutiennent Jocelerme Privert. Il n’est un secret pour personne que les acte
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