Bernard Diederich/«Un petit goût de goyave»

Une construction novatrice pour évoquer des souvenirs de grand reporter

Le correspondant de presse en poste dans la capitale d’un pays finit par s’enraciner.

Jean-Claude Boyer
Mercredi 1er juin 2016
Par Jean-Claude Boyer Mercredi 1er juin 2016
22 juin 2016 | Lecture : 3 min.
Le correspondant de presse en poste dans la capitale d’un pays finit par s’enraciner. Comme le fut Bernard Diederich, arrivé à Port-au-Prince en 1948. Fin observateur de la scène politique haïtienne, il est l’auteur d’ouvrages à succès sur la période duvaliériste. Mais on ne pouvait pas soupçonner qu’il est comme un poisson dans l’eau dans le monde littéraire. Le jeudi 26 mai 2016, à la foire du livre, il eut la courtoisie de m’offrir un exemplaire de son dernier livre «Un petit goût de goyave», sous-titré «Poètes, écrivains, anecdotes», Imprim
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