Après des heures de moult tergiversations, tractations et palabres, après que les dix parlementaires pro Privert ont exigé sans succès que le Sénat se dote d’abord d’un président de sorte que celui-ci puisse présider la séance, la deuxième session de l’année législative est ouverte. La salle fut bouillonnante. La confrontation des combines éreintante avant que 87 députés et 22 sénateurs ne confirment le quorum, ouvrant la voie au lancinant débat : départ ou non de Jocelerme Privert du pouvoir mardi, à un moment où la « conjoncture est troublée