Les romans anglo-saxons m’apportent la liberté

L’écrivain Gary Victor a remporté le prix Rhum Barbancourt 2015. Il le partage avec Pierre Clitandre pour son roman « Le sang et la mer II Hérodiane ». Le Nouvelliste l’a rencontré.

Wébert Lahens
Par Wébert Lahens
24 mai 2016 | Lecture : 4 min.
Le Nouvelliste : Comment expliquez-vous le succès de l’écrivain ? Auprès de quelle catégorie de public ? Gary Victor : Je m’explique mon succès par le fait de publier, d’abord, dans les colonnes des journaux. Gabriel Garcia Marquez publiait dans les journaux, en Colombie. Quand tu publies des contes, des nouvelles, des histoires dans les journaux, tu as des approches très profondes de la réalité. Écrire des contes, c’est travailler avec l’imaginaire des lecteurs, leur quotidien, leurs préoccupations, leurs non-dits, leurs colères, et les res
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