Un dernier mot à l'endroit du professeur Josué Lamour

Quand un jour, tôt ou tard, il faut qu’on disparaisse Quand on a plus ou moins vécu, souffert, aimé Il ne reste de soi que les enfants qu’on laisse Et le champ de l’effort où l’on aura semé (Charles de Gaulle) Chers parents éplorés, chers amis affligés, De tous les problèmes apparemment insolubles de l’humanité, il y en a un qui est resté jusqu’à présent sans solution et sans amélioration : la mort qui est la destinée inévitable de l’homme.

Le Nouvelliste
Par Le Nouvelliste
15 avr. 2016 | Lecture : 4 min.
Quand un jour, tôt ou tard, il faut qu’on disparaisse Quand on a plus ou moins vécu, souffert, aimé Il ne reste de soi que les enfants qu’on laisse Et le champ de l’effort où l’on aura semé (Charles de Gaulle) Chers parents éplorés, chers amis affligés, De tous les problèmes apparemment insolubles
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