L’usine allait encore connaître des remous avec la question des huit heures de travail. Le patronat et le syndicat ouvrier s’opposèrent à nouveau. Renaudin, petit homme au visage dur qui parlait aux bourgeois avec sévérité et leur annonçait la fin prochaine de leur classe remplaça, au syndicat ouvrier, le secrétaire Langlois, quarante-huitard et proudhonien. André Maurois ajoute que l’application de la loi nouvelle des huit heures lui fournit le prétexte d’une lutte souhaitée.
Alors, au nom des patrons, M. Pascal Bouchet offrit pour la journ