André Maurois/«Bernard Quesnay»

Peinture par fines touches d’une famille industrielle (3e partie)

L’usine allait encore connaître des remous avec la question des huit heures de travail.

Jean-Claude Boyer
Mercredi 9 mars 2016
Par Jean-Claude Boyer Mercredi 9 mars 2016
17 mars 2016 | Lecture : 3 min.
L’usine allait encore connaître des remous avec la question des huit heures de travail. Le patronat et le syndicat ouvrier s’opposèrent à nouveau. Renaudin, petit homme au visage dur qui parlait aux bourgeois avec sévérité et leur annonçait la fin prochaine de leur classe remplaça, au syndicat ouvrier, le secrétaire Langlois, quarante-huitard et proudhonien. André Maurois ajoute que l’application de la loi nouvelle des huit heures lui fournit le prétexte d’une lutte souhaitée. Alors, au nom des patrons, M. Pascal Bouchet offrit pour la journ
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