Autour de la mystérieuse Tessalines

Jusqu’au 28 février se poursuit, à l’Institut Français, l’exposition de Tessa Mars amorcée le 17 de ce mois baptisée « Tessalines et moi ». Cette collection réalisée dans le cadre d’une résidence à Port d’Espagne, selon la plasticienne, explore, entre autres, sa personnalité ; elle constitue aussi un questionnement du rôle de l’environnement dans la construction de l’identité de l’individu.

Chancy Victorin
Par Chancy Victorin
22 févr. 2016 | Lecture : 3 min.
Le public était nombreux au vernissage le 17 février de « Tessalines », l’exposition de Tessa Mars qui se poursuit jusqu’au 28 à l’Institut Français. A priori, l’œuvre est insaisissable à l’observateur moyen. La constante est le personnage Tessalines, remarquable par une certaine rondeur qu’elle partage avec l’auteure (Tessa Mars) et les écailles recouvrant son corps tel un tatoo ou du body-painting. Sur l’un des tableaux, on la voit sur le dos d’un cheval dans une barque taguée « Imamou ». D’autres éléments comme un hibou, un rat, un canon son
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