Les habitants de la zone métropolitaine de Port-au-Prince, plus de 3 millions, vivent sur des « failles actives » qui rendent plus importante la menace sismique, a alerté une étude menée par des scientifiques français.
Des scientifiques français de l’équipe de tectonique de l’Institut de physique du globe de Paris (CNRS, Paris Diderot, Sorbonne Paris Cité), lors de travaux consistant à identifier et à caractériser les failles actives responsables du séisme destructeur du 12 janvier 2010 en Haïti, ont mis en évidence des failles actives dans