Sitôt signé, sitôt dénoncé. L’accord de sortie de crise paraphé, samedi, entre le chef de l’Etat et les présidents des deux branches du Parlement, est considéré par le groupe des huit candidats à la présidence comme une provocation. Quelques heures après la signature du document, le G-8 sort un communiqué pour le dénoncer et appeler la population à poursuivre les mouvements de protestation…
L’accord confère une sortie honorable au président Martelly avec une dernière intervention le dimanche 7 février devant l’Assemblée nationale et accorde