L’entrée du commissariat de la plus grande commune du pays, en termes de densité de population, est hideuse. Rien, à part les quelques policiers postés devant, ou ceux qui font le va-et-vient, ne laisse présager qu’il s’agit réellement d’un poste de police. Carcasses de voiture, véhicules en stationnement et l’inévitable fresque murale, rappelant sans cesse le séisme du12 janvier 2010, que représente l’ancienne caserne des pompiers - avec ses murs déglingués - délaissée depuis quelques semaines suite à la délocalisation des sapeurs-pompiers log