Comme lors de l’apparition de l’épidémie de choléra en Haïti en octobre 2010, une partie de la population demeure sceptique quant à l’existence de la maladie dans le pays. Il s’ensuit une réticence envers les pratiques d’hygiène avec pour conséquence des flambées perpétuelles.
« D’après nos investigations, une catégorie de la population revient avec les mêmes discours qu’en 2010, ne croyant pas que le choléra est une maladie présente et capable de tuer… Certains utilisent les produits de traitement de l’eau pour la lessive », explique le coord