De jour en jour, ou, mieux, d’année en année, l’immense talent de documentariste d’Arnold Antonin se confirme. Le cinéaste poursuit sa marche ascendante dans la quête de la globalité et de la perfection.
Nous avons assisté avec curiosité et plaisir, jeudi dernier, à la projection de deux de ses dernière œuvres : « Lafortune Félix », le dernier des grands peintres populaires de l’Artibonite ; et « Mort sans sépulture », consacré à notre écrivain de génie Jacques Stéphen Alexis.
Lafortune Félix, ce grand peintre populaire, est filmé chez lui,