Cinéma

Jacques Stephen Alexis : le nouvel amour des jeunes générations

Ce documentaire d’Arnold Antonin sur Jacques Stephen Alexis fait partie des quatre (4) films, en avant-premières (les 28 et 29 octobe) à Fokal, que le cinéaste Arnold Antonin a fait sortir : un (1) sur Gérald Bloncourt, un (1) autre sur Gérard Fortuné, le troisième sur Lafortune Félix. Arnold Antonin s’est juré de donner un sépulcre à Jacques Stephen Alexis. Il faut enterrer le héros, lui donner un caveau pour que les générations montantes -elles vont lire sa vie, ses livres, ses lettres - puissent se dire : voici où sont déposés les restes de l’auteur de l’ ‘’Espace d’un cillement’’ ou, simplement, s’interroger sur sa mal mort.

Wébert Lahens
 webblahens@yahoo.fr
Par Wébert Lahens webblahens@yahoo.fr
06 nov. 2015 | Lecture : 3 min.
Wébert Lahens Il y a plus de cinquante ans depuis le 21 avril 1961 – la veille de son anniversaire – qu’il avait disparu. Il était sorti d’un congrès à Pékin (Chine), avec Mao. Où est-il ? Où sont ses dépouilles ? C’est ce sentiment d’absence qui a poussé, sans doute, le cinéaste à fouiller, à travailler, pour monter, pendant cinq ans environ, ce documentaire sur Alexis qu’il a dressé, en onze tableaux, à savoir : 1- Mystérieuse disparition, 2- L’homme, ses proches, ses amours: peut-on faire de sa vie une œuvre elle-même ?, 3- Les polémiques
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