Le 9 août 2015, s’est joué en Haïti un autre chapitre de la saga de la « stabilisation et du renforcement institutionnel », selon la vision sur mesure conçue pour les Haïtiens par les censeurs de la communauté internationale et les « experts en titre » des Nations unies.
Désormais, aux vertus improbables de l’Etat de droit que les agences internationales nous vendent comme des postulats de la démocratie et de la bonne gouvernance, il faudra ajouter : Listes électorales manipulées, accréditations électorales détournées, intimidations et violenc