Suffrage universel

Le mode de comptage adopté par le CEP, une affaire de calcul…

Si le CEP attend la fin de la période de contestation au BCED et au BCEN pour dire qui a gagné au premier tour et qui ira au second tour des législatives, le mode de comptage qu’il utilise est qualifié d’irréel et d'insensé.

Robenson Geffrard
Par Robenson Geffrard
28 août 2015 | Lecture : 4 min.
Si le CEP attend la fin de la période de contestation au BCED et au BCEN pour dire qui a gagné au premier tour et qui ira au second tour des législatives, le mode de comptage qu’il utilise est qualifié d’irréel et d'insensé. Le calcul avancé par l’institution que dirige Pierre-Louis Opont qui voudrait que deux candidats en tête ayant obtenu la majorité absolue, au moins 50% +1, soient élus au premier tour « s’apparente plus à de la magie qu’à un calcul mathématique», dénoncent les candidats. Procès-verbaux en main, des candidats se déclarent d
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