La jeunesse scolaire d’aujourd’hui est accablée de tous les maux. On lui reproche de ne pas atteindre l’absolu (qui d’ailleurs n’existe pas), on attend d’elle des performances croissantes. Le premier coup d’arrêt dans un cheminement académique est vécu telle une catastrophe. Mais les aînés pratiquent la politique de la terre brûlée. Les facilités dont ils ont bénéficié hier sont aujourd’hui supprimées. Je m’adresse à vous qui lisez ces lignes : savez-vous que les examens de rattrapage (qualifiés autrefois d’extraordinaires) ne sont plus organis