Une chose est d’écraser Aruba, de laminer Grenade et d’espérer un faux pas de Porto Rico pour se qualifier pour la prochaine phase des JO de Rio.
Une autre est de se regarder dans un miroir avant de crier victoire contre le dernier adversaire, qu’il soit Porto Rico ou un autre.
La prise en charge de cette équipe féminine par le coach américain Shek Borkowsky a montré ses limites, alors qu’elle s’étale déjà sur trois ans .
Personne n’était tout à fait convaincu que ce rassemblement sous les couleurs d’Indiana était la formule idéale pour tou