Depuis l'année 2011, les Nations unies commémorent le 30 août la Journée internationale des victimes de disparition forcée. Ces victimes incluent tous les disparus forcés dont les corps n'ont jamais été retrouvés par leurs parents. Pour empêcher que le crime ne soit parfait lorsque les bourreaux ont fait disparaître jusqu'aux cadavres, Devoir de Mémoire-Haïti (DDM-H) jette la lumière sur cette période désastreuse. Sa démarche serait certes plus transcendante en appelant à l'édification d'un mémorial honorant les victimes disparues entre 1957 et