Les conclusions tirées de ce rapport sur les dépenses publiques orientées vers l’enfance soulignent que le degré de maîtrise de l’État sur ses recettes et sur ses dépenses publiques est insuffisant par rapport aux besoins de l’enfance. Elles relèvent l’attitude insouciante de l’État qui répond aux besoins des enfants souvent dans l’urgence à partir de la ligne budgétaire d’interventions publiques. Les conclusions ponctuent aussi sur le fait que l’État est surtout en retard par rapport aux attentes élémentaires et fondamentales des enfants âgés