Le syndrome Palermo

Ce dimanche de l’été 1999, en Copa America, la Colombie défit l’Argentine par cinq buts à zéro.

Jean-Claude Boyer
Vendredi 24 juillet 2015
Par Jean-Claude Boyer Vendredi 24 juillet 2015
29 juil. 2015 | Lecture : 2 min.
Ce dimanche de l’été 1999, en Copa America, la Colombie défit l’Argentine par cinq buts à zéro. Au-delà du score inhabituel, les observateurs de la planète foot retinrent surtout la malchance de Martin Palermo, l’attaquant de pointe de l’Albiceleste. Le malheureux rata, en cours de jeu, trois tirs de penalty. Mais c’était insensé de la part du sélectionneur argentin de le désigner comme tireur (ou de le laisser s’en charger), lui qui possède un tir canon (une frappe de mule). Effectivement, le joueur qui tire en puissance n’est pas fait pour l
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