Après les affiches des candidats (billbaord, banderoles posteurs) inondant Port-au-Prince, ce sont les tableaux annonçant l’ouverture des cours d’une préfac (cours de mise à niveau) qui sont les plus remarqués à chaque coin de la ville. Ces petites entreprises d’étudiants (préfacs), qui, autrefois, étaient une initiative volontaire et bénévole, sont devenues un moyen pour les étudiants de se faire un peu de blé. 4 000 jusqu’à 5 000 gourdes, tels sont les frais exigés pour participer à un de ces cours d’une durée d’un mois.
Après les examen