« Pour résoudre la problématique de la détention préventive prolongée, il faut cesser les arrestations fantaisistes et que la justice fasse son travail», a lâché un juge. Celui-ci constate une lenteur exagérée surtout au niveau de l’institution de poursuite, le parquet de Port-au-Prince.
Il faut que le parquet traite les dossiers avec célérité, renvoie ceux qui le méritent, cite au correctionnel ou défère si possible au cabinet d’instruction, continue-t-il. Selon ce magistrat, certains dossiers peuvent être traités immédiatement. Parce que l