Bernard Diederich, « ce grand vétéran de la Seconde Guerre mondiale », auteur du célèbre texte « Haïti et les Tontons Macoutes », cet inclassable journaliste, passe au peigne fin les événements de l’année 1957 qui marque la « genèse » de notre dysfonctionnement politique. Année 57, année de lutte acharnée et durcie pour la conquête du palais national, « élégant édifice », « symbole du pouvoir et de l’enrichissement facile », bâtisse chic qui a accueilli nos chefs d’État, nos dirigeants démangés par la soif de pouvoir.
Enfilant comme souvent s