Je ne cesserai pas d’insister sur sa prose élégante qui est comme une marque de fabrique. Du récit «Une femme à la fenêtre», je tire ce qui suit :
«Et quand bien même poindrait une lueur jaune, lointaine, par-delà cette sombre embrasure, nul soupçon ne viendrait à l’esprit qu’un être humain pût vivre là …»
Ou :
«Ils grandiront, bien sûr, à la faveur des jours, et deviendront des hommes.»
Syto possède, donc, la facilité de trouver des formules heureuses.
Je continue à relever des passages où la prose est imprégnée, absorbée par la très fort