Sa résistance fut vaine, car il fut assailli par une dizaine de personnes au moins. « Je le veux vivant »,cria la même voix. Quand on le maîtrisa, il eut la vaine satisfaction d’avoir envoyé quelques-uns de ses agresseurs au tapis. Il fut traîner, à moitié inconscient, à travers une cour humide, aux senteurs pestilentielles jusqu’à une autre pièce où on le ligota à un poteau de béton. L’endroit était éclairé par des torches retenues par des anneaux de fer à des murs blanchis à la chaux. Sourbier n’eut plus la notion du temps jusqu’à ce qu’il