« Porteur de mots », plus qu’une performance artistique incluant peinture, arts plastiques et vidéographie, est un clin d’œil à la mort, cette « grande faucheuse ».
Habdaphaï, yeux posés sur son vécu martiniquais, bouscule une vieille tradition partagée par nombre de pays caribéens. Jean Crépin Alerte : « Les porteurs de mots existent quand il y a mort. Ils arrivent chez un défunt, créent un espace symbolique pour tremper les âmes endolories dans un univers de contes. » Il dit avoir voulu rendre hommage à ces gens dans son expo-performance