123 000 dollars américains, c’est le montant décaissé par la coopération japonaise en vue de la reconstruction de la laiterie de Bon-Repos. Après plusieurs années de disette dans un espace exigu, l’institution évoluant sous le label de « Lèt a Gogo » a enfin trouvé un espace de sa trempe. Ce bâtiment est muni de toutes les unités indispensables pour la transformation du lait. Il est doté, entre autres, d’un centre de lavage, d’un vestiaire, d’une salle de contrôle de qualité, d’une salle de production, d’une salle de préparation, d’un dépôt et