Une tentative réussie. Un plaisir immense pour des festivaliers au goût aiguisé pour le 7e art de sillonner certains quartiers précaires reculés de la capitale dominicaine, la misère de nos « braceros » dans les « bateys », la triste réalité des enfants nés avec des ambitions amputées par la mauvaise gouvernance des politiciens du pays voisin.
C’est un essai captivant, brossant le récit amer de nos compatriotes qui se sentent appartenir à ce sol aussi héritier de l’esclavage. Ce documentaire, annonçant la clôture du festival lancé sous l’égid