Parenthèse(s)

La littérature assassinée

Dieulermesson PETIT FRERE L’on a toujours tendance à assimiler la littérature à une activité gratuite, de rien du tout, qui n’aurait aucune utilité, à la limite, pratique.

Dieulermesson Petit-Frère
Par Dieulermesson Petit-Frère
30 mars 2015 | Lecture : 2 min.
Dieulermesson PETIT FRERE L’on a toujours tendance à assimiler la littérature à une activité gratuite, de rien du tout, qui n’aurait aucune utilité, à la limite, pratique. Pour parler comme les partisans de ceux qui croient que toute chose devrait avoir une fin pratique circonscrite dans l’immédiateté. Au cours de mes premières années d’études à l’ENS, ce discours a alimenté tous les débats à n’en plus finir. Aujourd’hui encore, des années après, l’on y revient avec une acuité certaine. Comme si la littérature serait de nos jours dans l’impass
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