«Ce sera une situation de crise humanitaire et émotionnelle grave. Des familles vont être séparées, des gens vont perdre leurs biens et seront humiliés, annonce Edwin Parasion. A cause du contexte de ces rapatriements, ces gens vont subir une chasse à l'homme ». L'ancien ministre des Haïtiens vivant à l'étranger pense qu'au-delà du 15 juin date, de la fin du PNRE, près de 250 000 Haïtiens en situation irrégulière seront rapatriés en Haïti, si aucun accord n'est trouvé.
Edwin Paraison accuse les responsables de la diplomatie haïtienne dont la