Le téléphone sonne. Deux bips. On décroche. « Je suis à l’hôtel ! », confie furtivement Grégory Figaro avant de retourner à sa réunion, lundi, en début de soirée. Ne demandez pas lequel. C’est «Marriott », à Turgeau, un autre chantier mené à bien, à côté de celui de Royal Oasis, qui étoffe son portfolio, donne du poids à la firme Arcotec qu’il dirige. Sa compagnie, chargée d’effectuer le terrassement et les grosses œuvres, a fait un travail «impeccable, dans les délais». Il n’en est pas peu fier.
Plus que la fierté, c’est une réputation qui s