Wébert Charles
En me posant cette question, j’ai naturellement pensé au roman de Daniel Pennac, « La petite marchande de prose », troisième de sa série des mésaventures de Benjamin Malaussène. Bouc-émissaire parfait attaché à une maison d’édition, Malaussène s’est vu proposer la tâche de devenir du jour au lendemain, le fameux écrivain J.L.B, connu du pays tout entier comme le prophète du mouvement qu’il a baptisé lui-même « Le réalisme libéral ou capitaliste », par opposition au réalisme socialiste. Benjamin Malaussène apprend donc l’art (dif