Erol, un cœur en résonance
Avec Erol Josué, il est question de ¨what you see is what you get¨. À notre rendez-vous, il porte quatre bagues aux doigts, dont une est montée d’un dessin de tête de mort et une autre d’un masque africain. C’est un ¨gangan¨, un prêtre du vaudou initié depuis l’âge de 17 ans. C’est aussi à partir de là que sa prédestination pour l’art a été perceptible dans son entourage.
Il n’est pas comme certains artistes, particulièrement de la nouvelle génération, qui chantent ¨Ayibobo¨ parce que c’est dans l’air du temps (grâce