Petit portrait de nos excrétas

Cap sur le Nord, avec, comme tout bagage, une caméra Canon dont la batterie est presque à plat et des yeux qui interrogent le décor, le mardi 27 janvier 2015.

Roberson Alphonse
Par Roberson Alphonse
28 janv. 2015 | Lecture : 2 min.
Cap sur le Nord, avec, comme tout bagage, une caméra Canon dont la batterie est presque à plat et des yeux qui interrogent le décor, le mardi 27 janvier 2015. Presque à l’angle de la route nationale numéro 1 et Route neuve, il y a un gâchis : « le centre de traitement d’excrétas » de Titanyen. Construit sur 12,5 hectares et financé à hauteur de 1 million 946 mille 778 dollars us, ce centre est à l’abandon. Sur une affiche abimée, battue par le vent, il y a des logos. Ceux de l’Etat haïtien, de la Dinepa, de l’ambassade d’Espagne et de l’Agence
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