-Ce n’est pas sérieux, grommela Bernard Sourbier.
L’agent de la SAD avait ouvert la fenêtre. Le climatiseur était encore une fois en panne. Un brin de fraîcheur s’engouffra dans la pièce, mais aussi tout le brouhaha de la rue.
-Vous allez me dire que c’est pour de l’argent. Cela fait beaucoup pour de l’argent et ce climatiseur que vous ne faites jamais réparé.
-Je l’ai fait réparer, protesta Ouari.
-Achetez un autre, lança Sourbier, excédé.
Ouari soupira. Son agent était de mauvaise humeur. Il ne pouvait lui en vouloir. Lui-même ne savait pas p