L’accord de Kinam signé le 11 janvier 2015 entre le chef de l’Etat et des partis politiques de l’opposition n’a pas pu éviter le vide institutionnel. 24 heures après la signature de cette entente, le Parlement est devenu non fonctionnel empêchant ainsi l’application du document. Ses signataires estiment que l’accord doit être modifié afin de l’adapter à la nouvelle réalité de l’heure. Parallèlement, Fanmi Lavalas rejette cet accord et somme le chef de l’Etat de cohabiter avec « la vraie opposition politique ».
Fusion, INITE et Ayisyen pou Ayit