Le nouveau succès obtenu par le pape François dans la réconciliation américano-cubaine est le dernier en date d'un pape mondialement populaire, qui sait user de ce prestige pour renforcer le poids du Vatican sur la scène mondiale.
Le premier pape latino-américain de l'histoire suivait de près le dossier cubain depuis son élection en mars 2013, après les voyages à la Havane de ses deux prédécesseurs Jean Paul II (en 1998) et Benoît XVI (en 2012).
Tous deux avaient choisi le pragmatisme en ne refusant jamais le dialogue avec le régime communiste.