Ce n’est pas le temps des pleurnicheries, la Noël. C’est plutôt le moment de partager, d’essayer de rendre la fête extraordinaire même quand tout s’annonce difficile, d’être heureux, malgré tout, comme ces enfants qui ont mangé, dansé, joué ensemble, des heures durant, dans une atmosphère de convivialité, loin des clivages sociaux traditionnels. « C’était important de les rassembler dans un même espace pour célébrer comme on peut la Noël avec eux », explique Mario Brégart, président de la fondation éponyme, qui se dit « motivé uniquement par l