Gérald Alexis
La biennale apparaît à tous ceux qui l’ont visité comme un ensemble de débris entassés, des débris transformés en assemblages auxquels il faut donner une nouvelle valeur. Elle se présente comme un ensemble de produits esthétiquement ou poétiquement inconvenants, un défilé de signes tragiques, tourmentés, parfois hilares, qui constituent un discours à plusieurs voix insoumises.
Opinant sur ces sculptures, Emmelie Prophète écrit : «Elles gueulent de la même manière. Elles peuvent faire peur, elles doivent faire peur, parce qu'e