Le rapport de la Commission consultative, formée par arrêté présidentiel en date du 28 novembre dernier, a provoqué une véritable levée de boucliers au Parlement haïtien. Certains députés et sénateurs, réputés proches du pouvoir exécutif, disent s’inscrire en faux contre les recommandations contenues dans ce rapport. Lesquelles, entre autres, réclament la démission du Premier ministre et de son gouvernement, du Président du Conseil supérieur du pouvoir judiciaire (CSPJ) et du Conseil électoral provisoire (CEP).
Altès Toussaint, député de la ci