Si dans 48 heures, à partir du lundi 17 novembre, le président Martelly peut « libérer les prisonniers politiques, faire cesser les persécutions politiques, créer un climat de confiance et trouver un médiateur », la rencontre entre lui et l’opposition sera possible, a fait savoir au Nouvelliste Turneb Delpé du MOPOD. Dans le cas contraire, l’aile dure de l’opposition ne répondra pas à l’invitation de Michel Martelly et la rencontre prévue pour le mercredi 19 novembre n’aura pas lieu.
Malgré un certain assouplissement constaté chez le chef de