Paul Farmer : agir contre Ebola parce que le « pire est à venir »

Ebola, « le pire est à venir », a écrit Paul Farmer dans une tribune publiée par London Review of Book après un voyage mi-septembre au Liberia, pays de l’Afrique de l’Ouest durement touché par cette fièvre hémorragique d’origine animale.

Roberson Alphonse
Par Roberson Alphonse
27 oct. 2014 | Lecture : 3 min.
Ebola, « le pire est à venir », a écrit Paul Farmer dans une tribune publiée par London Review of Book après un voyage mi-septembre au Liberia, pays de l’Afrique de l’Ouest durement touché par cette fièvre hémorragique d’origine animale. Pour justifier ses préoccupations, le philanthrope, grand artificier de Zanmi Lasante, sort des chiffres sur l’ampleur de l’épidémie dans tous les pays foyers : le Liberia, la Guinée et la Sierra Leone. Les données communiquées au 1er octobre démontrent qu’un tiers des cas documentés ont été enregistrés en se
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