Pour « La nuit du rire », la grande salle du Karibe fait office de salle de théâtre. Manque ou plutôt absence d’infrastructures culturelles oblige, je présume. En entrant, on aperçoit un podium au coin gauche de la salle. Les deux pans de murs drapés de noir. Une petite table supporte une malle. Une malle en orange et vert que le comédien utilisera tout au long de la pièce, y tirant notamment une serviette pour s’éponger. Le décor est simple. Mais dès les premières minutes, l’on sent aisément que le spectacle ne sera pas à l’image du décor. Deu