Un indigne requiem

« Soyez à la hauteur, Messieurs », demandait Le Nouvelliste en une le 16 octobre. Dans l’article du même titre, il était pronostiqué que « Dessalines ne servira que de prétexte aux deux camps. L’opposition veut frapper un grand coup. Le gouvernement ne veut pas laisser le champ libre ni abandonner le terrain par forfait ». Il n’y a pas eu de surprise. Le 17 octobre 2014, l’empereur Jacques 1er a reçu, de la part des deux camps, un indigne requiem. L’opposition ne peut élever le niveau pour porter ses revendications à la hauteur de ses attente