Graduations, manifestations, et l’empereur à la poubelle

Il faut croire qu’il en existe encore deux ou trois qui savent ce que c’est qu’être ministre.

Lyonel Trouillot
Par Lyonel Trouillot
20 oct. 2014 | Lecture : 4 min.
Il faut croire qu’il en existe encore deux ou trois qui savent ce que c’est qu’être ministre. On peut appuyer telle mesure du ministère de l’Éducation nationale, trouver telle autre précipitée, voire un peu hasardeuse, mais on a l’impression, une fois n’est pas coutume au sein de ce gouvernement, que ce ministère est dirigé et qu’on y pense. Après tout, rien n’est mauvais dans l’absolu, et il faut bien reconnaître que, parmi les dirigeants de ce pays, quelques-uns semblent bien être à leur place. Faut-il les féliciter ? (Dans ce marasme, leur
CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.