Il faut croire qu’il en existe encore deux ou trois qui savent ce que c’est qu’être ministre. On peut appuyer telle mesure du ministère de l’Éducation nationale, trouver telle autre précipitée, voire un peu hasardeuse, mais on a l’impression, une fois n’est pas coutume au sein de ce gouvernement, que ce ministère est dirigé et qu’on y pense. Après tout, rien n’est mauvais dans l’absolu, et il faut bien reconnaître que, parmi les dirigeants de ce pays, quelques-uns semblent bien être à leur place. Faut-il les féliciter ? (Dans ce marasme, leur