J'ai commencé à lire Guy Régis Jr. presque comme tous ses lecteurs, par un livre titré « Ida, Monologue déchet ». Mais, vous dis-je, de mémoire d'homme, jamais sous-titre ne seyait aussi bien à une œuvre. Ce qui m'a un peu empêché de lire ses autres pièces de théâtre. Mais j'ai été particulièrement attiré par le titre « De toute la terre le grand effarement » lors d'un travail avec d'autres collègues critiques pour une communication à Mount Holyoke College autour des « écritures du séisme ».
Les morts sont des étoiles filantes
« De toute la t