Les protestataires qualifient d’irréguliers et d’illégaux ces choix derrière lesquels il y a, disent-ils, la main de l’ex-sénateur de la Grand’Anse, Michel Clérié qui aurait, selon eux, écarté les noms retenus sur concours, dans l’idée de mettre déjà en place ses pions pour « un coup d’État électoral » ! Incriminant l’ex-sénateur, ils assurent que l’ancien élu, proche du pouvoir, n’a aucune considération pour les droits des habitants des quartiers populaires, sauf qu’il les sollicite pour les inviter à manifester quand ses intérêts sont en jeu.