Je ne m’y connais pas vraiment en musique. Ce n’est pas mon lieu de parole. Encore moins en compas. En littérature –donc étude de textes ou appréciation de l’art, un peu. À la limite, oui. Je pourrai peut-être me tromper. Comme n’importe quel mortel. En dépit de mes grosses lacunes, je crois tout de même, ne serait-ce qu’en une infime partie, avoir le droit de dire ce que je pense de « Priyorite », le cinquième numéro du dernier album de « Klass », Fè l vini avan.
Ce texte de Richard Jean-Hérard m’interpelle vivement et me porte à réfléchir s